Que le printemps tarde...
Mon petit cahier noir me suit partout, partout. Les idées foisonnent dans ma tête et je note tout. Tout ce qui peut apporter des éléments nouveaux à mon roman. Les idées sont bonnes je crois... j'essaie d'assembler tout ça avec suite et logique. Faut par contre, laisser libre cours à l'imagination. Y a des jours où ce n'est pas aisé comme on voudrait. Je le sens généralement au saut du lit. Aujourd'hui sera une bonne journée d'écriture ou non, je tourne en rond. En lisant quelques auteurs connus, je constate qu'ils ont les mêmes inquiétudes, les mêmes moins bonnes journées de production, et ça me rassure.
Je comprends les auteurs maintenant quand ils disent que leurs personnages leur parlent toute la journée. Je suis seulement aux premiers balbutiements et déjà j'en suis imprégnée. Je pense à eux à tout moment et je les vois tellement dans ma tête... leur physionomie, leur allure, leur façon de penser. Ils prennent de plus en plus forme. C'est fou! Ne reste qu'à vous les faire connaître en les décrivant le mieux possible. Toute une tâche! Mais combien plaisante :)) J'ai l'impression d'avoir le cerveau en effervescence tout le temps, ma tête n'arrêtant que pour dormir. Que je lise ou que je regarde une émission de télé et voilà que ça repart de plus belle. Faut que je retienne ça et ça et ça encore. Faut que je note avant d'aller me coucher pour ne pas oublier. Faut que je retienne certains termes appropriés à telle situation. Faut est inlassable...
Le premier roman se précise donc... je laisserai l'autre en veilleuse jusqu'à nouvel ordre.
Aujourd'hui donc, au programme, écrire une couple de pages pour désengorger cette tête toute pleine de mots et de phrases emmêlés.
J'ai eu une idée très intéressante - peut-être une idée de génie - cet p.m. mais... motus et bouche cousue... ce sera une surprise dans le livre.
Faut - encore lui - que je vous laisse... ma petite auto a besoin de ses pneus d'été. Je sais, c'est tôt, mais je n'en peux plus de l'hiver. VIVE le printemps qui approche doucement, sans faire grand bruit.
Colombine qui est très heureuse de vous lire quand vous avez le temps :))
Allo ma Colombine,
RépondreSupprimerToi c'est ton cahier noir...moi c'est le bleu !
Celui-là même que j'aimerais bien retrouver, celui-là même que j'ai perdu...je demande à l'Univers ... mais je n'ai pas de réponse...je l'ai vraiment perdu ... :-(
Toi tu vis le printemps, moi je l'espère !
Toi tu vis un renouveau, moi c'est le jour de la marmotte !
On est à des kilomètres, mais on se retrouvera dans peu de temps. Continue de prendre des notes, un beau jour toutes ces idées géniales se retrouveront réunies dans une livre...un livre t'imagine ? Lâche-pas mia sorella tu es sur le bon chemin.
XXX
Zopin
J'aimerais bien lire d'autres commentaires de tes fans !
RépondreSupprimerMOi moi moi!!!! Je suis une VRAI fan de toi Colombine, sa fait un bout de temps, que je cherche du temps pour moi... lire m'évadée est la solution dans mon quotidien. Je recherche en vain le livre qui comblerait mes attentes. J'attend le tiens avec impatience!
RépondreSupprimerEn attendant, j'ai le plaisir de te lire ici, et de constater à quel point tu as du talent pour nous faire vivre chacunes de tes émotions!
J'espère que tu te sent productive ses temps-ci!
Au plaisir de te relire!
XXXXX
Quel beau rêve!
RépondreSupprimerÇa prend en effet une bonne dose de courage pour se lancer mais l'aventure en vaut la chandelle, assurément.
J'aime écrire depuis toujours, une passion pour moi aussi. Je me souviens d'un temps où j'écrivais régulièrement à mes correspondants étrangers et à mon oncle, missionnaire dans la jungle au Pérou... j'étais une bonne conteuse.
Je crois que pour écrire, il est essentiel de retrouver cette fantaisie et l'inspiration créative qui nous habitait alors... lorsque le grand tourbillon du quotidien ne nous atteignait pas encore.
Je te souhaite donc, chère Colombine, que chaque fois que tu le souhaiteras, tu puisses retrouver tes personnages et vivre avec eux, un chapitre à la fois, dans ce monde imaginaire que tu inventeras au gré de tes saisons intérieures.
J'ai bien hâte de te lire.
Lilou
xx
dis donc ma belle Colombine où donc est passé le printemps, je ne l'ai pas vu et pourtant nous sommes à la porte de l'été.
RépondreSupprimerIl faut croire qu'ici en ce beau pays, il n'y a que deux saisons, l'hiver et l'hiver et juste une petite canicule en juillet pour nous rappeler que l'été existe ailleurs
Pourtant, nous sommes bien un 18 mai, je t'assure que j'ai dû regarder sur le calendrier pour en être certaine.