vendredi 23 décembre 2011

LA MAGIE...

En ce matin enfin neigeottant, j'ai eu envie de partager avec vous...

Sans savoir pourquoi, je n'étais pas Noël cette année.  Pourquoi?  Je le suis tellement d'ordinaire!

Puis, est venu le temps d'imaginer... agrémenter notre intérieur de toutes guirlandes, couronnes, fantaisies colorées, sapin majestueux ou plus discret habillé de luminosité et de décorations inventives... garnir le garde-manger de victuailles de circonstance... métamorphoser la garde-robe de la table, la rendant festive, la noëllisant.




















Puis, est venu le temps de cogiter... avoir le tilt... magasiner... trouver l'objet rare... l'emmailloter de papier endimanché... le coiffer d'un magnifique ruban... le coucher sous le conifère et le regarder dormir jusqu'à ce que des yeux pétillent en le déshabillant.













Puis, est venu le temps de planifier... arpenter le marché... fouiller les étagères... discutailler avec les marchands... choisir le bon morceau qui deviendra tartare... saliver devant l'étal de fromages... emplir les narines de l'odeur panesque émanant du comptoir abritant baguettes, parisiens, fougasses, chocolatines et autres mies... palper les avocats, aubergines, poires et pamplemousses sous le regard de Nino... visiter Elena à la quincaillerie, l'admirer s'affairer, réentendre son accent italien, la voir me sourire, me demander de mes nouvelles et profiter de son étreinte comme si j'étais une des siens.







Puis, est venu le temps d'offrir son aide pour... couper légumes... fouetter crème... édulcorer fruits et coulis... mijoter ragoûts et civets... macérer gâteaux et confits... rouler pâtisseries et tartelettes... goûter à nos réalisations et se féliciter des résultats!



Puis, est venu le temps des rencontres, échanges, jacasseries, bavardages, causettes, papotages, verbiages jusqu'à la palabre en dégustant, savourant et se délectant de tous mets recherchés, concoctés avec amour par les uns et les autres afin de délicier nos palais en sirotant champagnes de toutes maisons et vins de tous cépages!









Puis, est venu le temps de s'apprécier, s'aimer, profiter du plaisir d'être ensemble, gâter les petits, apercevoir l'enchantement dans leurs yeux et aussi... penser à ceux qui ne peuvent bénéficier de tous ces bienfaits, plaisirs et bonheurs qui choient les plus privilégiés... NOUS!!

Me v'là un peu plus dans l'ambiance, dans la magie, grâce à tous ces moments présents et anticipés!!

ET VOUS??


J'aimerais partager ces belles images inspirantes...























JOYEUX NOËL en famille et entre amis
et
HEUREUSE ANNÉE 2012
remplie de projets, de surprises, de découvertes et bien sûr... de SANTÉ et D'AMOUR,
car sans ces deux-là, le reste ne se peut pas.

Colombine xo

mardi 6 décembre 2011

DES NOUVELLES...

Je sais, je ne fais pas incursion aussi souvent que je le voudrais dans cette page.  C'est que je suis si occupée à en noircir d'autres.  Je pourrais aussi dire bleuir, mauvir ou rosir, mais comme il s'agit d'un polar... noircir est plus approprié.

Ne vous en faites pas, il n'y aura pas que de l'obscur dans ces feuilles.  Des passages tant cocasses que savoureux sillonnent également mes 160 premières pages.  Imaginez! 40 000 mots, déjà!  Presque la moitié du manuscrit! 160 pages déjà fignolées, revisitées encore et encore et améliorées par le fait même, lesquelles exigeront tout de même un peaufinage et un repeaufinage à la toute fin.  Et pourquoi?  Pour notre plaisir réciproque!

J'ai deux vies désormais: la vie réelle, celle de tous les jours, où je remplis le frigo, remplis les casseroles de soupes et de ragoûts, remplis le lave-vaisselle, remplis mon rôle de femme et de maman et... la "vie du livre", celle où mes personnages grandissent avec lui, occupent toute ma tête, m'empêchent de dormir toutes mes nuits.  Mais, avec quel bonheur!  Penser à ma Emma ou à son capitaine ou à Elliot ou à Renaud ou à Tardif ou à Simon ou à Marseille, m'enchantent littéralement.  Ils font maintenant partie de ma "2e vie", et j'espère... pour longtemps...  J'ai hâte que vous les connaissiez!

J'adore tout particulièrement m'ingérer dans le cerveau d'un des personnages pour ensuite en ressortir et aussitôt me plonger dans celui d'un autre protagoniste.  C'est comme être acteur... j'imagine!  Sauf que j'ai l'opportunité de jouer plusieurs rôles en cours de film.

J'ai beau songer, imaginer, créer des scènes dans ma tête, lorsque les doigts frôlent le clavier, souvent un tout autre texte se manifeste, s'impose comme si les interprètes de l'histoire, du plus charmant au plus vil, me sommaient de les laisser parler, se réaliser, me surprendre.  Et lorsque je pratique la lecture à voix haute, je ne peux que les remercier de leur souveraineté... et c'est TRIPPPANT!



Jusqu'à maintenant, j'ai vécu 160 pages de pur bonheur!  Les prochaines, déjà planifiées (en autant que mes doigts s'entêtent dans leur quête d'autonomie et de gourmandise), s'annoncent aussi génératrices de sentiment de réalisation que les premières.  Ce nouveau phénomène, le processus de création, me comble à tous les niveaux.  Pour les curieux... non, le côté financier ne me manque pas, je me sens encore plus riche maintenant.

Riche de créativité.  Riche de magnifiques rencontres.  Riche d'une nouvelle vie sociale. Riche d'une tout à coup vie privée.  Riche d'une récente vie plus équilibrée.  Riche d'être parachutée au milieu d'un nouveau monde.  Riche du support de tout un chacun surtout de mon Colombin.  Riche de conférences choisies et profitables. Riche de temps.  Riche de mots.

Voir les pages ainsi s'accumuler m'encourage à continuer, à rechercher mon ordi (ne serait-ce que 15-20 minutes à la fois), à m'amuser toujours, à me surpasser aussi.  Ben non... je n'écris pas tous les jours, à mon grand désespoir!  Mais, une bonne journée d'écriture se solde par 2 à 3 pages (soit 500 à 750 mots) et lors d'une excellente cuvée, mes doigts pondent jusqu'à 8 pages (quelque 2 000 mots!) et c'est arrivé plus d'une fois. Suis à la veille de les faire assurer ;-) ;-)



Voilà, c'est le programme de ma vie actuelle, l'histoire de ma 2e vie, mon histoire qui gravit l'escalier, une marche à la fois.  Comme un mijoté qui laisse dégager ses arômes pendant des heures et des heures... Si mes idées n'ont de cesse de se reproduire, le bouquin devrait voir le jour où les lilas commenceront à embaumer.  Le jour où toute pivoine hâtive qui se respecte ne saurait tarder à étaler ses pétales.  Le jour où la tulipe osera mettre le nez dehors.  Le jour où le pommetier rosira ou blanchira pour le grand plaisir des yeux.  Le jour où la chenille deviendra papillon.  Le jour où tout renaît, les fleurs comme les mots.








Vous sachant derrière moi en attente de...


je vous dis...

À très bientôt!

Colombine xo
p.s.  je sais que quelques-uns d'entre vous avez de la difficulté à publier votre commentaire.  Je suis à essayer de changer de blogue tout en conservant mes anciens textes.  Si quelqu'un sait ou se doute de la manière de faire, s.v.p. appelez-moi.  Merci!



mercredi 19 octobre 2011

UNE REVENANTE...


PAUSE INÉVITABLE 

Ben oui... suis de retour après une trêve indispensable afin d'écouter mes personnages devenus prenants,  pressants et ma foi... très accaparants, ne me laissant aucun répit.  Alors, pfft! le blogue.  Mes rêves sont peuplés de ces nouvelles personnes qui elles, peuplent mes pensées un peu tout le temps.  Mon écrit comptera 100 pages d'ici la fin de la semaine.  Très encourageant.  J'entre maintenant dans le vrai coeur du sujet: le vrai dénouement, les vraies intrigues, même si le tout début est assez punché


C'est pas tout à fait mon décor... 

Celui-ci s'avère un peu plus véridique...




J'ai mijoté... imaginé... inventé... créé et finalement... suis en train de mitonner un plat bien épicé qui se dégustera, je l'espère, avec exquisité.  Les mots m'emballent...




Soit dit en passant, je vis tout ça avec délice et ravissement. Oui, je suis ravie et comblée et nourrie et gavée par l'écriture de ce bouquin qui fera, j'espère, vos propres délices et ravissements le temps venu.

Quand?  Eh bien... difficile à affirmer.  Mais, je souhaite soumettre le tout à la maison d'édition au courant du printemps prochain... en croisant mes doigts.  À suivre...






ÉTUDE SOCIOLOGIQUE

Hôpital Maisonneuve... Salle d'Urgence... un lundi après-midi...

Toutes sortes de monde.  Des jeunes et moins jeunes.  Des gens de tous les coins de la planète cohabitant dans un espace de 1200 pieds carrés désuet, éclairé pôvrement, tristounet à souhait, donnant envie de "dépressionner" à coup sûr et... partir en courant.

 un Régis moustachu et mal fagoté, qui n'a pas rencontré sa douche depuis..., côtoie une Françoise droite et "rigide", coiffée de son p'tit chapeau de laine carreauté et affublée de sa non moins p'tite "sacoche" tenue bien serrée sur ses genoux.  Ils détonnent, assis côte à côte sur les bancs raides mais surtout usés à la corde de cette salle commune autrefois -faudrait s'en souvenir-... ultra-moderne!

Tout d'un coup, un Renato bedonnant, accompagné de sa Luisa tout aussi ronde, tentant d'expliquer avec force gestes à l'infirmière à la patience infinie, le bobo qui l'affecte.

Les civières et fauteuils roulants zigzaguent entre les "malades", les "corps morts", les "patients".  C'est qu'ils sont drôlement patients plutôt que réellement "mal en point", sauf pour quelques-uns.  On jurerait que d'aucuns se plaisent à y passer l'après-midi, jasant, riant, mangeant des sandwichs et chips du casse-croûte mais n'ayant pas la grimace de la douleur évidente ou les cernes bleutés sous les yeux à force de manque de sommeil.

Il y a... Monsieur Tartempion au poignet foulé, "im-patient" de voir le toubib, qui parle un peu trop fort au goût de tous les "plus-que-patients" présents dans ce cloître.  Tentant de calmer le jeu, la moutarde "épicée" monte tout de même au nez de la bénévole dévouée.  Colombino se propose même de s'occuper de lui p-e-r-s-o-n-n-e-l-l-e-m-e-n-t, lui si patient et compatissant dans ces cas-là... c'est tout dire!  Hmm... le "call" à la Sécurité est proche.  En apprenant qu'il réussirait à voir le docteur dans les 6 à 9 heures, il tourne brusquement les talons et détale comme un lièvre apeuré - OUF!

Tantôt une dame noire comme le charbon marmonne aux 20 minutes (j'ai fini par la "timer"), ignorant visiblement ses voisins, les yeux dans le vide semblant ne voir personne, une prière en créole se terminant invariablement par un "amen".  Sans doute pour nous réconforter...  Quand même plus r'posante que Tartempion.
Tantôt une maman et son tit-gars de 9-10 ans qui semble en fait en avoir 2-3, aux yeux de maman qui veille sur lui comme une poule sur ses oeufs.  Trop, trop couvé... hmm... l'adolescence sera peut-être pas tout rose pour la couveuse!  Quand les "lâche-moi un peu" et les "chus capable tout seul" lui feront hérisser les cheveux sur la tête...
Tantôt une jeune fille apparemment anorexique aux jambes maigres... comme ça, accompagnée de sa maman à l'air découragé.  C'est la "combientième" fois dans ce lieu sinistre... 
Tantôt un joueur de football à la cheville foulée, mal à l'aise dans sa chaise roulante.  Ah tiens, celui-là flanqué de papa... ben oui, y est sportif!
Tantôt un Albert aimant, que dis-je, vénérant la bouteille, vu son imposante bedaine moulée dans son gilet rouge, venant tout juste, après 2h30 de patience, de comprendre le système hospitalier à coup de Tab... En v'là au moins un qui ne traîne pas souvent par ici... c'est tant mieux!
Tantôt un p'tit tannant qui saute partout comme un atèle, faisant enrager sa maman qui fulmine et laisse échapper un sacre bien senti parce que... les nerfs à vif.  Elle essaie la douceur, la colère, l'exaspération profonde.  Àquand les larmes?  Il s'est fait piqué par un moustique laissant son "entre-yeux" enflé, maman craignant donc une allergie à la bête.  Pour moi, c'est le moustique responsable de la "danse de Saint Guy" qui a sévi...

Coudonc, sont où les papas?  Sauf... pour les patients sportifs...

Soudainement, v'là une Lindâ, chic dans son ensemble de jogging abritant un abdomen morbide, une grimace perpétuelle paralysant sa figure - bouche ouverte en permanence mettant en évidence une lèvre inférieure charnue et proéminente - qui, soutenue mollement par son Réjean - lire Réhan - tout aussi peu ragoûtant - beugle à intervalle régulier, un son digne d'une ourse blessée - &?%$"/

Qu'est-ce que je faisais là?  Colombino souffrait d'incontinence intestinale depuis 6 jours, commençait à être sérieusement déshydraté - malgré le bon jus d'orange salé depuis 2 jours -, amaigri de 10 livres et bientôt, "dénutritionné".  Sur ordre de l'infirmière de Urgences-Santé... vite, vite, à l'hôpital.





La préposée, à travers son masque de papier, crie les numéros un à un à raison de 3 aux 15 minutes.  Ouf! au bout d'une bonne heure... #100... bingo, c'est nous!  Et nous ne sommes qu'à l'appel.  Retour à notre siège de cuir bleu craquelé - peut-être le nouveau design - en attente qu'on veuille bien de nous au triage.  C'est pas gagné!  

Oups, encore une ambulance.  Ces véhicules "non-récréatifs" jaunes se succèdent à un rythme effréné, ce qui je présume, ralentit le processus de pseudo-vitesse.

Tout cela sans compter qu'une douche "im-prévisible", abondante et récurrente, coule du plafond en plein milieu du corridor, laissant un trou béant au plafond comme au plancher.  L'endroit, enrubanné de jaune, garantit ainsi une pseudo-sécurité comme les viaducs en phase terminale en attente d'une ultime chimio avant de rendre l'âme.

Et encore Lindâ, toujours la même grimace figée sur la face, se déplaçant cahin caha, passant devant nous aux 20 minutes, histoire d'aller tirer une "puff" dehors en attendant son tour chez le docteur.

2 grosses heures plus tard, depuis le haut-parleur, on entend finalement le nom de Colombino comme dans un rêve.  Se pourrait-il qu'on daigne s'en occuper...  Et on m'a dit que c'est une journée tranquille et calme pour le personnel qui, presque le sourire aux lèvres, se permet de prendre le temps avec tout un chacun.  C'est peut-être pour ça que c'est l-o-n-g, bordel!!  Comprenez bien que je les admirais incommensurablement!

L'infirmière n'a pas daigné prendre les prise de sang, analyse d'urine, test de déshydratation à la première intervention.  Que nenni!  Faudra attendre la 2ième infirmière dont c'est le rôle... 1 heure plus tard.  Le médecin prescrira peut-être un soluté intraveineux.  Attendons les résultats, attendons... attendons... à l'infini.  

Dire qu'en Italie au mois de juin, où en moins d'une heure, j'ai pu rencontré le triage, l'urgentologue et l'ORL -qui a pris le temps de faire passer un tube à partir du nez jusqu'à la gorge- et finalement la pharmacie - c'est tout juste si le charmant docteur ne m'a pas escortée jusqu'au bâtiment tout fleuri de l'autre côté de la cour tout aussi fleurie dans un décor féerique -, pour récolter les pilules divines qui ont permis ma guérison en moins de 3 jours.  Et tout ça "gratos", même pour une touriste venue de l'autre côté de l'Atlantique.  "Je dois vous soigner madame", me disait-il.

Colombino s'est tout à coup senti beaucoup mieux.  Sans doute im-patient de sortir de cet "enfer".

Fini le mal de ventre, les envies pressantes, le mal de tête, etc... 8 heures plus tard et, toujours médecin invisible.  Docteur maman décide qu'assez c'est assez!  En redemandant la carte bleue au préposé à l'inscription afin de rentrer à la maison, une infirmière s'inquiète de la possible déshydratation..."un soluté sera sûrement nécessaire".  Maman de lui répondre qu'après avoir reçu le résultat du test de sang, eh ben, elle l'appellera à la maison.  "Non, non, le test est sûrement entré mais non-classé au dossier, attendez-moi", lui répondit-elle. "Eh bien, mon grand, tout va bien mais tu es "borderline".  Alors, prière de boire du Gatorade demain toute la journée" - comme si c'était un médicament pour lui!!  Il me rabâche à qui mieux mieux: "j'ai hâte de manger de la pizza", ouais... pas sûre...



Il va de mieux en mieux, ne mangeant que le strict nécessaire de la super-diète prescrite.  Il a cru comprendre qu'à son lieu de travail, le virus sévit.  Donc... on cherche moins l'empoisonnement alimentaire.  Elle court, elle court la gastro, alors...


Faut vraiment pas être malade et surtout pas "patient"...  VIVE LA SANTÉ!

Colombine xo

p.s. avec tout ça, j'ai pas pensé prendre une photo de ce lieu merveilleux! 



vendredi 26 août 2011

POUR LES OREILLES...

La p'tite toune du vendredi... une belle découverte!



BON WEEK-END À TOUS!

Colombine xo

mercredi 24 août 2011

DÉJÀ VINGT ANS...

Il y a 20 vingt ans aujourd'hui, j'unissais mon coeur à celui de Colombin.

Et... ma route, mes aspirations, mes désirs, ma destinée aussi.  Je n'ai jamais, au grand jamais, eu le semblant d'un désir de regretter cette décision qui, pourtant... n'a pas eu le loisir d'être mûrie plus de cinq p'tites minutes.  Il m'a demandé... j'ai dit OUI sans réfléchir... du tout.


Il n'est plus seulement mon chum... mon conjoint (je déteste ce mot!)... mon amoureux... mon amant...     
Il est mon mari!  Ça n'a plus été pareil après ce Grand Jour.  Dans ma tête direz-vous?  Peut-être un relent de "vieux jeu", "kitch", "kétaine"... mais j'm'assume.


Quand tu le sais... tu le sais!  C'était LUI tout simplement.  Personne d'autre avec qui j'aurais voulu tout partager.  Les moments jubilatoires comme les moins réjouissants.  Le quotidien devenant routine puis, habitudes réconfortantes.  Les instants délicieux lors d'escapades plus ou moins lointaines.  La frénésie des courses à la recherche de quelques saveurs exotiques dans le but de se sustenter.  Et l'effervescence d'une cuisine au moment de marier ces parfums afin de mitonner de bons p'tits plats.

 
Et même, le plus important... le choix d'avoir un enfant -moi qui repoussais cette "idée saugrenue" aux calendes grecques- Mes proches en ont été témoins à cette époque...!!



Aucune hésitation lorsque transférés ailleurs -job oblige-  Si l'occasion de s'établir beaucoup plus loin que la Vieille Capitale avait été sur la table... je l'aurais suivi au bout du monde!


La dégustation des moments, des instants, des minutes, des heures, des jours, des semaines, des mois, des années... VINGT c'est pas rien! permet d'apprécier la vie vraie jour après jour.

Quant on sait que le bonheur se tricote petit à petit chaque matin... j'ai dû en faire des rangs de mailles!!


                       Chanceux?  Oui, sans doute!  Chanceuse?  Très certainement!

                       C'est vrai qu'on fait un beau couple! Lequel nous ressemble le plus...?

    
                              Deviendrons-nous un couple mythique ou... simplement...

Nous!

                                                        
                                                               En téka...

                                                  Bon anniversaire à nous 2!



Colombine xo